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Pourquoi j'ai créé mon propre site web


Je viens d'apprendre de plusieurs sources concordantes que certains insinuent dans mon dos que j'ai voulu "me tirer la couverture" en créant mon propre site web au lieu de continuer à maintenir celui du SWISS ATV. A mon corps défendant car je n'aime pas évoquer ce genre de chose, je vais m'expliquer.

Lorsque j'ai quitté la présidence du SWISS ATV, en octobre 1999,  j'avais dit pouvoir continuer à maintenir le site web. Je l'avais créé et maintenu actif pendant toutes ces années et, étant professionnellement connecté au net à longueur de journée, je pouvais continuer à faire ce travail sans problème.

Comme il est de mon habitude, deux jours après l'AG, mon compte-rendu était fait et publié sur le site. Je reçu aussitôt l'ordre du nouveau comité de remplacer un paragraphe de ce texte par un autre, de son crû cette fois. La mort dans l'âme j'avais déjà dû prendre la difficile décision de quitter la présidence du SWISSATV et cela n'avait pas été facile. Et voilà maintenant que, ma place encore chaude, le nouveau comité faisait preuve d'autorité à mon égard. J'en fus vraiment attristé et je refusai. Deux semaines après, sans préavis, le comité fit changer mon mot-de passe d'accès au site et le reloader dans son état d'avant l'AG. J'étais devenu "interdit de site"!...

Je décidai alors de créer mon propre site web afin d'être en mesure de continuer à exprimer mes opinions car il m'était devenu clair que, dans ces conditions, le triumvirat ne me laisserait plus non plus écrire dans le SWISSATV NEWS. Ce que j'avais fait au nom du SWISS ATV pendant 5 ans, je le ferais dorénavant sous mon propre indicatif et ainsi fut fait.

Pour moi, que je fasse ce travail pour le SWISSATV ou pour moi-même n'a rien changé, la tâche est la même. Si le triumvirat ne m'avais pas retiré l'accès au site SWISSATV, je m'en occuperais probablement encore pour la plus grande gloire de l'association. C'est ce que je tenais à dire, car je n'accepte pas qu'on me salisse alors que je ne suis pas responsable de cette situation.

HB9AFO
26 novembre 2001